MERCI DE SIGNER ET DIFFUSER CETTE PETITION !
https://secure.avaaz.org/fr/petition/Au_President_du_Parlement_belge_et_aux_parlementaires_belges_Refus_de_signer_lavis_et_la_fiche_du_Conseil_du_BienEtre_An/?fbss&mobile=1
Nous demandons:
- Aux parlementaires belges de refuser de signer “l’avis et la fiche” proposés par le Conseil du Bien-être Animal dont le contenu unilatéral ne correspond ni à la réalité de terrain, ni à la demande insistante formulée par la population belge depuis 1998.
- Aux parlementaires belges de faire de la Belgique le premier pays européen à emboiter le pas à l’Inde qui, sur base des données et des études scientifiques les plus récentes, a attribué au dauphin la qualité de personnalité juridique non humaine.
- Aux parlementaires belges d’interdire tout(e) – détention, échange, ou utilisation du dauphin, lors notamment de dressages et de shows - comme elle l’a fait pour l’utilisation d’espèces sauvages dans les cirques.
Planète-Vie réfute le contenu de l'avis et de la fiche du Conseil du Bien-être Animal qui sont entachés du lobbying constant du secteur des delphinariums au sein du groupe de travail. Le résultat présenté pour signature à Madame Onkelinx est unilatéral et ne présente aucunement un compromis concernant le bien-être des dauphins mais bien un compromis avec le delphinarium de Bruges afin qu’il puisse maintenir ses activités et, malheureusement pour les cétacés, les « légitimer » et les multiplier. Le seul compromis acceptable en matière de captivité des dauphins est la création de centres d’hébergements temporaires, sous forme de lagons et en bordure de mer, comme le font les centres Sealife partout dans le monde.
Le dauphin est une espèce sauvage, consciente, intelligente, douée d’émotions et entretenant des liens sociaux très élaborés. La captivité ne pourra jamais remplacer la richesse de ces interactions sociales, tout comme elle ne pourra remplacer la richesse et la diversité de leurs interactions avec le milieu naturel qui est le leur. Le dauphin souffre et meurt de la captivité, à Bruges comme partout dans le monde. Il vous appartient, il nous appartient d’y mettre un terme là où nous le pouvons : dans notre pays.